Sortie le : 24 juin 2009
Site officiel: www.transformersmovie.com
Terminator ? C’est l’inspecteur gadget à côté d’eux. Qui ? les Tranformers bien sûr, qui reviennent pêter un boulon sur grand écran. Quand au scénar, il ne fait pas dans la littérature, jugez-en plutôt: Deux ans se sont écoulés depuis que Sam Witwicky a mis fin à la guéguerre entre deux clans de robots extraterrestres. Oui, mais, le sauveur de l’univers a aussi ses petits soucis d’ado comme les autres : faut assurer pour les études, s’occuper de la petite amie et de son meilleur ami, le robot Bumblebee. ( Le scénariste a du trouver le nom dans son bain). Dur dur la vie.
Alors que la vie de Sam semble reprendre son cours normal, il fait la connaissance de son colocataire Leo et de la merveilleuse Alice… Patatra, coup de théâtre !! Il est soudain assailli par des visions apocalyptique… Zut alors, où est passé ce fichu costume de superhéros? il faut se dépêcher, voilà encore les Autobots et les Decepticon qui ont encore grillé un circuit. Le Bien triomphera-t-il du mal ???
Allez, arrêtons le massacre, personne n’est dupe. Les 200 millions qui ont été mis à la disposition de Michael Bay ( Bad Boys, Armageddon, Pearl Arbor, Transformers ), n’ont pas servi à stimuler le ciboulot des scénaristes, mais plutôt à fignoler les pixels des vilains joujoux intergalactiques. Et on ne va pas s’en plaindre, vu qu’on a payé pour voir ça ! Du bon gros spectacle futuriste et fantaisiste, qui nous fera oublier un temps que les robots sont parfois de l’autre côté de l’écran…
Alors que la vie de Sam semble reprendre son cours normal, il fait la connaissance de son colocataire Leo et de la merveilleuse Alice… Patatra, coup de théâtre !! Il est soudain assailli par des visions apocalyptique… Zut alors, où est passé ce fichu costume de superhéros? il faut se dépêcher, voilà encore les Autobots et les Decepticon qui ont encore grillé un circuit. Le Bien triomphera-t-il du mal ???
Allez, arrêtons le massacre, personne n’est dupe. Les 200 millions qui ont été mis à la disposition de Michael Bay ( Bad Boys, Armageddon, Pearl Arbor, Transformers ), n’ont pas servi à stimuler le ciboulot des scénaristes, mais plutôt à fignoler les pixels des vilains joujoux intergalactiques. Et on ne va pas s’en plaindre, vu qu’on a payé pour voir ça ! Du bon gros spectacle futuriste et fantaisiste, qui nous fera oublier un temps que les robots sont parfois de l’autre côté de l’écran…
- Billet unique